Le modèle « Source-Champ-Flux-Cible » décrit des évènements non contrôlés par le système opérant lors de sonactivité. On peut les comprendre comme autant de phénomènes sur lesquels les connaissances ne sont pas forcément nécessaires. Toutefois, on constate que la compréhension de certaines caractéristiques de ce phénomène sont parfois incontournable.
Le Champ d'influence décrit le milieu dans lequel se produit ce phénomène, et qui peut être influencé par lui.
La Source décrit l'état de départ du système, avant que ne s'accomplisse le phénomène décrit.
Le Flux est composé de différents flux informationnels, émotionnels et cognitifs, qui constituent le coeur du phénomène étudié.
La Cible décrit l'état d'arrivée du système, une fois ce phénomène accompli.
Le Champ d'influence décrit le milieu dans lequel se produit ce phénomène, et qui peut être influencé par lui.
La Source décrit l'état de départ du système, avant que ne s'accomplisse le phénomène décrit.
Le Flux est composé de différents flux informationnels, émotionnels et cognitifs, qui constituent le coeur du phénomène étudié.
La Cible décrit l'état d'arrivée du système, une fois ce phénomène accompli.
Ce modèle présente tout l'arsenal que l'anosmique déploie pour répondre à son désir d'intégration sociale.
Derrière cette recherche d'intégration se cache également une volonté d'améliorer son propre comportement, pour répondre à des "règles" socio-culturelles dont l'impact est très fort, ce qui passe souvent par une volonté de plaire à l'autre, afin d'effacer son handicap.
Partant de la situation dans laquelle il se trouve (dans le cas d'une interaction sociale, ce poitn de départ est relativement flou...), l'anosmique va, par l'observation assez systématique de ce qui l'environne, chercher à adapter au mieux son comportement.
On note que si les flux informationnels sont peu représentés, les flux émotionnels et cognitifs sont particulièrement présents dans ce phénomène d'interaction sociale.
Il sera peut-être nécessaire d'insister sur l'importance de ces deux dernières catégories, tant il est vrai que son handicap réduit dans une certaine mesure l'anosmique à son handicap... Tout du moins peut-il le ressentir ainsi !
Des deux modèles SCFC présents dans cette capitalisation, celui-ci est probablement celui que nous avons eu le moins de mal à formaliser, les exemples d'interaction sociale étant nombreux dans les différents entretiens menés par l'équipe.
Derrière cette recherche d'intégration se cache également une volonté d'améliorer son propre comportement, pour répondre à des "règles" socio-culturelles dont l'impact est très fort, ce qui passe souvent par une volonté de plaire à l'autre, afin d'effacer son handicap.
Partant de la situation dans laquelle il se trouve (dans le cas d'une interaction sociale, ce poitn de départ est relativement flou...), l'anosmique va, par l'observation assez systématique de ce qui l'environne, chercher à adapter au mieux son comportement.
On note que si les flux informationnels sont peu représentés, les flux émotionnels et cognitifs sont particulièrement présents dans ce phénomène d'interaction sociale.
Il sera peut-être nécessaire d'insister sur l'importance de ces deux dernières catégories, tant il est vrai que son handicap réduit dans une certaine mesure l'anosmique à son handicap... Tout du moins peut-il le ressentir ainsi !
Des deux modèles SCFC présents dans cette capitalisation, celui-ci est probablement celui que nous avons eu le moins de mal à formaliser, les exemples d'interaction sociale étant nombreux dans les différents entretiens menés par l'équipe.